thumb do blog Évêque Edir Macedo
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Qui a soif? Qui croit?

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14ème Jour du Jeûne de Daniel

Écoutez ce que l’Esprit dit:

 

…Jésus, Se tenant debout, S’écria: Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à Moi, et qu’il boive. Celui qui croit en Moi, des fleuves d’eau vive couleront de son sein, comme dit l’Ecriture. (Jean 7:37-38)

 

Lorsque l’Éternel dit: Si quelqu’un a soif… Il n’était pas en train de vouloir encore pêcher quelques disciples parmi cette foule joyeuse.

 

Non! Mille fois, non!

Il savait que la soif à laquelle il faisait référence, était le privilège de quelques-uns.

Les invités assoiffés par le Seigneur sont des gens simples, choisis à doigt et à l’œil par le Saint-Esprit.

 

Celui qui a soif, même vivant dans le péché, est appelé par Dieu pour être rassasié. Si le pécheur assoiffé est appelé pour boire, imaginez ceux qui sont déjà délivrés du péché, sont purifiés et sont dans la foi du Jeûne de Daniel!

 

Toutefois, pour que le pécheur puisse boire de l’Eau, il doit confesser ses péchés, les abandonner et se donner au Seigneur Jésus.

 

Mais ceux qui sont déjà sauvés de l’enfer, qui ne vivent pas dans le péché, peuvent revendiquer de Jésus l’Eau promise.

C’est vrai! Ils peuvent revendiquer au moment où ils voudront et en seront rassasiés.

 

En fin de compte, l’Eau n’est que pour les assoiffés. Il en est de même pour celui qui croit...

Celui qui croit, est celui qui a été touché par le Saint-Esprit, comme celui qui a été touché par Lui pour avoir soif.

 

Celui qui a soif ou celui qui croit ont été appelés par Dieu, mais ils ne boiront de la Source, que lorsqu’ils décideront d’y aller.

 

Jésus invite ceux qui ont soif et ceux qui croient;

Le Saint-Esprit donne la soif et la foi. C’est à celui qui a soif de «creuser jusqu’à trouver» l’Eau et à celui qui croit de «creuser jusqu’à trouver» la source du Fleuve d’Eau de la Vie qui coule sous ses pieds.

Dieu ne fait pas des tours de magie pour transformer des vies, mais Il donne une vision spirituelle et des conditions physiques pour matérialiser Ses Promesses.

 

***

Commentaires

 

Ami

Comment allez-vous Évêque? En février dernier, j’ai pris un engagement et j’ai commencé à chercher le Seigneur Jésus, à assister aux réunions et à écouter les enseignements de l’autel. Le Saint-Esprit m’a convaincu que j’étais contaminé, personne ne m’a condamné à l’Universelle ou pointé un revolver sur ma tête!

Je me suis sincèrement donné au Seigneur Jésus, je me suis baptisé d’eau et j’ai pris la décision de Le suivre, en obéissance à Sa parole, pour le reste de ma vie. Depuis lors, le désir de recevoir le Saint-Esprit est en moi. Ma foi n’était pas une foi rationnelle, pendant tout ce temps, j’avais beaucoup de doutes et à chaque demande de délivrance, j’attendais comme un tour de magie et je ne comprenais pas qu’il était nécessaire de croire, même si nous ne voyons aucun signe de changement. Maintenant, je comprends cette foi montagne-russe qui m’a empêché d’obtenir ce que Dieu veut de moi. La parole amie et les recherches quotidiennes du Saint-Esprit sont les meilleurs moments de ma vie, je n’exagère pas, Évêque! J’étais dans l’erreur, dans le sentiment et pour le fait d’attendre que ce tour de magie arrive en moi, je finissais par être frustré et par penser que Dieu ne Se préoccupait pas de moi. Mais lorsque vous avez dit que cette soif du Saint-Esprit est un signe de Dieu à l’intérieur de moi, même en étant si erroné, si misérable et sale, une lumière s’est allumée à l’intérieur de moi, est né un espoir que je pouvais encore connaître le Seigneur Jésus-Christ, être vraiment le fils de Dieu. Je me suis donné, Évêque, j’ai sacrifié les mauvaises choses et mes désirs, assoiffé de justice, voulant boire de l’Eau de la Vie. Je souhaite être en train de tout bien faire pour être rempli du Saint-Esprit dans ce Jeûne de Daniel, afin de servir comme outil dans les mains de Dieu pour Son œuvre ici sur terre, Évêque. Que Dieu vous bénisse beaucoup, vous et votre vie!

 

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Gizelia Gomes Ferreira

Bonjour Évêque, j’ai envie de parler au sujet de ce que j’ai vécu hier. Bien que je cherche le Saint-Esprit, tous les soirs avec vous, Évêque, hier j’étais découragée toute la journée, souhaitant que quelque chose me comble, mais il semblait que Dieu était loin de moi. J’ai cherché à lire votre blog, je me sentais mieux, mais même ainsi, je me sentais seule. Je suis une évangéliste depuis 8 ans, je vis des hauts et des bas. À l’intérieur de moi, il y avait une guerre, à un moment donné, j’étais sûre de mon Salut, à un autre moment, j’alimentais des doutes. C’est alors qu’est venu le Jeûne de Daniel, en écoutant les témoignages, j’ai vu que je n’étais pas vraiment née de nouveau et j’ai décidé de plonger dans cette foi. Je cherche le Saint-Esprit à l’aube et hier je L’ai cherché avec vous à 23H00. Lorsque vous avez commencé la Parole Amie, j’avais très envie de dormir, mais j’ai été jusqu’à la fin. Je n’oublie jamais ce que vous avez dit, que la soif que j’avais, c’était le Saint-Esprit Lui-même qui l’avait mise en moi. Évêque, je me suis sentie valorisée. J’avais la certitude que Dieu était près de moi.

Vous avez dit, Évêque, que Dieu savait ce que je voulais dire, avant même de parler. Je ne savais que dire: «Oh mon Dieu, mon cher Père», alors je n’ai pas cessé de rire. Je ne savais pas si je riais ou si je pleurais. J’avais l’impression que je n’allais plus m’arrêter. Lorsque, j’avais envie de parler, les rires et les larmes ne me laissaient pas parler, quand j’ai cessé de rire vint une certitude de la présence de mon Dieu, une force. J’ai même eu chaud, je ne me suis jamais sentie si bien. C’était comme lancer un cri, qui était emprisonné en moi, depuis longtemps. Ce moment fut inexplicable. Que Dieu vous bénisse.

 

***

 

Sandra

Bonjour, Évêque, à chaque fois que j’allais chercher le Saint-Esprit, je sentais que mes prières étaient vides, sans réponse, parce que je ne ressentais rien et je n’avais pas la certitude que Dieu avait écouté ma prière, mais aujourd’hui, ce fut différent. J’étais en train de lire la Parole de Dieu, en Matthieu 16:24-28 et la parole m’a fortement parlé, car j’ai compris le sens de «charger sa Croix». «Car quiconque voudra sauver sa vie, la perdra; et quiconque perdra sa vie pour l’amour de moi, la trouvera». En terminant de la lire, j’ai eu une grande envie de prier, de fermer les portes et les fenêtres et de commencer à parler avec DIEU, j’ai ouvert mon cœur à Dieu et je Lui ai demandé: «Seigneur, que veux-Tu de moi, jusqu’à maintenant j’étais dans le doute, si je devais continuer à suivre mes désirs ou à me lancer de corps, âme et esprit en Toi.

Lorsque j’ai médité votre parole, Évêque, LE DOUTE N’EXISTAIT PLUS EN MOI, mais simplement, une certitude de vouloir servir le Seigneur en esprit et en vérité et j’ai dit: « Me voici Seigneur pour faire Ta volonté, parce que j’ai perdu ma vie une vie de tromperie, de hauts et bas, une vie médiocre, une pauvreté d’esprit et qui n’appartient PLUS à ce monde. Je choisis de ne plus faire ma volonté, pour vivre par amour, pour Toi Seigneur, mais j’ai besoin de naître de Toi, d’avoir Ton sceau, Ton esprit, parce que j’ai le désir de Te de servir, mais j’ai besoin de Ton sceau. Seigneur, lave-moi de Ton sang, purifie-moi afin que je puisse recevoir Ton Saint-Esprit». À ce moment-là, je n’ai plus pensé à quoi que ce soit, si ce n’est à me lancer de tout cœur devant DIEU.

JE N’AI RIEN RESSENTI, MAIS J’AI EU LA CERTITUDE QUE LE SEIGNEUR ENTENDAIT MA PRIÈRE ET MON ÂME S’EST RENOUVELÉE AVEC SA PRÉSENCE, PARCE QUE MAINTENANT JE SAIS QUE JE SUIS SAUVÉE et cette certitude me donne envie de gagner des âmes et plus d’âmes encore pour le Seigneur Jésus. Je souhaite que chacun d’entre vous ait dans leurs âmes, cette joie que j’ai maintenant. Merci Jésus pour m’avoir ACCEPTÉ ET À VOUS, ÉVÊQUE, POUR ÊTRE CET HOMME DE DIEU, QUI NOUS AIDE TOUS LES JOURS, À NOUS RAPPROCHER DE DIEU.