10ème Jour du Jeûne de Daniel

MÉDITEZ sur cette astuce de l’Esprit de Dieu:


En observant rapidement la vie des personnages bibliques, que nous admirons, nous voyons tout de suite leurs qualités et conquêtes, mais sommes un peu moins attentifs à leurs défauts, épreuves, douleurs, luttes personnelles et même échecs. Imaginez qu’une personne bénie ait sa vie facilitée, car sa communion avec Dieu lui garantit le bonheur complet extérieur, elle a toutes ses prières sont exaucées et l’immunité contre les problèmes, mais il n’en est pas ainsi. La foi ne facilite pas les choses, mais nous donne des conditions pour lutter, dans la certitude de la victoire.
 



Un cas qui illustre bien la vie d’Ephraïm, le second fils de Joseph. Nous savons que la bénédiction des premiers-nés dépasse de loin le droit à la double part de l’héritage de son père. Ainsi, se rendant compte que son père s’apprêtait à mourir, Joseph lui a amené ses deux fils, afin qu’il les bénisse. La principale bénédiction revenait à Manassé, mais le Tout-puissant, par les mains de Jacob, contredit Sa propre détermination et a choisi Ephraïm, la plus jeune.

Son frère cadet sera plus grand que lui, et sa postérité deviendra une multitude de nations (Genèse 48:1-20). 
 




Recevoir une bénédiction de cette ampleur, provenant du patriarche
Jacob, a dû rendre sa vie très spéciale, parce qu’il l’a placé sur la ligne de front entre les douze tribus, mais cela signifie aussi, qu’il devait être préparé pour des attaques majeures. À part ce grand jour, nous allons voir, par la suite, son histoire semée de chagrins, de tragédies et de conquêtes. Éphraïm marcha dans les voies de son père Joseph, avec crainte et justice. Ses enfants furent Schutélach, Ézer, Elead et une fille nommée Schééra. Une situation particulière révèle sa lutte familiale, parce que ses deux fils, Ézer et Eleade sont devenus des voleurs de bétail et lors d’une des tentatives de vol, ils ont été tués (1 Chroniques 7:21).
 


Imaginez combien la douleur et d’indignation, père et fils ont vécu, parce que tous deux étaient des hommes respectés en Égypte par leur exemplarité et caractère, mais Dieu a permis qu’ils vivent des problèmes publics. 

Les Écritures révèlent que, pendant plusieurs jours, Éphraïm est resté consterné et a pleuré la mort de ses enfants. Nous ne savons pas combien de temps a duré ses pleurs, mais certainement cette souffrance fut aggravée par le mélange de la douleur, de la perte et du sentiment de ne pas se sentir digne d’une si grande honte. En revanche, alors qu’il était plongé dans la tristesse, sa femme a donné naissance à un autre fils. Ephraïm a été tellement déçu dans sa vie, qu’il a marqué cet enfant, en lui donnant le nom de Beria, en d’autres termes, parce que le malheur était dans sa maison. (1 Chroniques 7:23). Il voulait que tout le monde sache comme il était terrassé.
 



Et dans cet environnement nuageux par la détresse du père, est né la jeune Schééra. Une femme avec une personnalité hors du commun pour son époque, avec un esprit audacieux et entreprenant. On lui attribue la fondation de trois villes: Beth-Horon, la basse et Beth-Horon la haute et Uzzen-Schééra (1 Chroniques 7:24). Probablement, son père axé sur le passé des deux fils perdus, a laissé échapper la joie de suivre les conquêtes de sa fille, le développement de Schutélach, son fils aîné et il n’a pas compris que le Très-Haut accomplirait là Sa promesse d’élever son nom.

Bien que, Beria, ait reçu le choc de la douleur de son père, en son nom, il a construit une histoire, les yeux sur l’avenir. Il a regardé de l’avant et a mené l’histoire d’Éphraïm dans les annales éternelles, ayant pour descendants Nun et Josué (1 Chroniques 7:27). Josué fut l’un des leaders de la libération des Hébreux en Égypte et l’homme utilisé pour la conquête de la Terre Promise. À travers lui, la tribu d’Éphraïm occupa la partie centrale de Canaan, une région montagneuse, mais extrêmement fertile et sûre, ce qui lui a valu beaucoup de prospérité. Plus tard, le nom d’Éphraïm a été utilisé comme un synonyme pour représenter les 10 tribus d’Israël. Éphraïm n’avait pas seulement de raisons pour pleurer et rester triste, parce que Dieu le bénissait dans d’autres aspects de sa vie. En ne regardant et valorisant que ce qui était mauvais, il a perdu le privilège de profiter de l’accomplissement des promesses. Ce qui fut une cause de chagrin et de honte serait alors inversée en honneur et en joie indicibles.

 


Nous comprenons qu’une personne incrédule, en passant par les tribulations, perd ses espoirs, parce que sans Dieu, aucun mal peut se transformer en bien. Cependant, ceux de la foi bénéficient d’un avantage extrême, car ils ont la certitude que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment DIEU. Les «défaites» d’aujourd’hui assurent les victoires de demain; la honte et l’humiliation d’aujourd’hui garantissent l’honneur de demain; les pleurs de la nuit garantissent la joie le matin. C’est ainsi que nous vivons par la foi.
 


Cela s’est produit au Temple de Salomon


Marcele Ribeiro
Bonjour Évêque, je suis née et j’ai été élevée à l’Église Universelle… mais je n’ai jamais eu de rencontre avec Dieu; à un moment donné j’ai cherché Dieu avec beaucoup de ferveur et à d’autres moments, j’ai adoré le diable. Je suis passée par tout ce que vous pouvez imaginer, Évêque, des drogues à la prostitution, j’ai volé, tué, détruit des foyers enfin… j’ai rassasié ma chair. J’ai eu cinq relations frustrées bondées de trahisons; de disputes et de drogues. Lorsque finalement, j’ai connu mon actuel mari. Je suis venue habiter à Belford Roxo, j’ai pensé être au fonds du monde, loin de tout, mais vraiment de tout. Là j’ai commencé à revenir à l’Universelle. J’ai alors participé à un voyage au Temple de Salomon, Évêque, même sans conditions et sans connaître personne, car j’avais un pied à l’église et un autre dehors, mais j’avais le désir de mettre fin à cet être inutile et répugnant que j’étais. Là au Temple, Jésus m’a répondu: Je t’ai mené à Belford roxo pour sauver ta vie, j’ai répondu à ta demande de pardon et je t’ai donné une nouvelle vie. Aujourd’hui, Évêque, je suis une nouvelle femme de 27 ans, qui à chaque jour de ce jeûne de Daniel est lapidée d’une façon différente. La présence de Dieu m’a sauvée des sables mouvants. Hier, le diable a essayé de me faire désister du jeûne, mais Jésus a ouvert mes yeux et mes pensées et j’ai marché sur la tête du diable avec révolte, car moi, Marcele Cristina, je suis une ouvrière élue du Seigneur Jésus (je ne suis pas encore ouvrière) mais par la foi, je me vois déjà entrer en enfer pour sauver des âmes des griffes du diable!
Merci, Évêque Macedo pour ne pas dire ce que j’aime entendre, pour m’enseigner à écouter ce que j’ai besoin d’entendre. Merci pour ne pas utiliser le sentimentalisme dans vos paroles, qui, en réalité, sont les paroles de Dieu Lui-même! J’ai reçu le Saint-Esprit, le 23 septembre 2015 et j’en ai la ferme assurance, point final!
Encore merci, Évêque, que Dieu vous bénisse.







Maira M Francisco
Bonsoir Évêque, et quelle nuit aujourd’hui, c’est un jour très spécial pour moi, car j’étais éloignée de l’église depuis 4 ans. Au cours de ces 4 ans, je venais et je partais, j’étais ferme comme un rocher, du moins, je le pensais, le jour suivant j’étais faible dans la foi, car je mettais mon époux et ma fille au centre de ma vie, lorsque le pasteur parlait dans les réunions, que nous devions mettre Dieu à la 1ère place, je comprenais, mais je ne pratiquais pas. Ce fut alors que j’ai décidé de me lancer dans ce jeûne de Daniel, vivant chaque jour comme si c’était le dernier. Aujourd’hui, en écoutant votre parole, vous avez demandé évêque de réfléchir sur qui est sur le trône de nos vies. Je suis allée dans la chambre de ma fille pour rester seule. Au moment où j’ai fermé la porte de la chambre, ma fille a commencé à pleurer parce qu’elle voulait entrer avec moi dans la chambre, mais je ne l’ai pas laissé faire. J’ai séparé ce moment-là uniquement pour Dieu. Elle criait à la porte, voulant entrer et moi à genoux, je cherchais Dieu. Ce fut alors que le Saint-Esprit a dominé mon être, avec joie, mais sans sentiment. Je n’avais qu’une certitude, qu’Il était là, en train de me consoler et de m’enlacer. Tout ce que je sais, c’est que je n’ai pas réussi à cesser de pleurer et de rire et en même temps de L’adorer. J’ai vu combien de temps j’ai perdu loin de cette présence si merveilleuse. Je ris toute seule, je me sens comme une adolescente amoureuse. Je ne saurai l’expliquer. J’ai vu aussi que seule mon âme n’est pas suffisante, je veux en sauver beaucoup d’autres pour le Royaume de Dieu. Merci Évêque, parce que c’est par le biais du dévouement que vous avez envers les âmes, que j’ai pu renaître aujourd’hui et connaître ce Dieu si glorieux, que j’aime encore plus. 







Adriana Ribeiro 

Bonjour Évêque! Je viens dire ici comme non seulement la prière d’aujourd’hui, mais toutes les autres de ce jeûne ne font qu’additionner des bonnes choses dans ma vie spirituelle. C’est glorieux comme notre Dieu parle et dirige Son Église. Évêque, au cours de ces 18 ans d’église tous les propos sont comme une brique dans la construction de ma vie spirituelle. J’ai eu le grand privilège de recevoir le Saint-Esprit, il y a 18 ans. Il va au-delà de toute la connaissance et étude que j’avais acquise et m’a donné une nouvelle vision, de nouvelles valeurs et une nouvelle direction dans ma vie. Dans ce jeûne, je demande le renouvellement de mon esprit et que les dons qu’Il m’a déjà donnés soient encore plus travaillés en moi. Et par-dessus tout qu’Il m’en donne de nouveau, afin que je puisse faire Son Oeuvre. Je suis avant tout attentive pour écouter et savoir là où Il veut me lapider. En réalité, ce que je dis à Dieu et qu’Il passe ma vie au tamis le plus fin, afin que je sois encore plus pure et agréable à Ses yeux. Lors de chaque prière, à chaque jour de ce parcours, je vois des changements et je grandis devant Lui. Je vois clairement en moi, cette joie dans l’âme, je suis fortifiée de plus en plus, à chaque prière!! Mes sincères salutations, Évêque, nous allons continuer parce que les résultats révèlent que ce propos apporte beaucoup de joie dans le ciel.